Avant de lire, je vous recommande fortement de regarder la vidéo DIVORCE ET PENSION, https://youtu.be/u3bTRbaMEFw
LIEN DIRECT VERS L'ARRÊT DE LA COUR SUPRÊME 5/2022, DU 3 JANVIER :
https://www.poderjudicial.es/search/AN/openDocument/211077ff8dd2bc6b/20220127
PARAGRAPHE LE PLUS PERTINENT :
Base juridique, troisième :
«[…] L'appelant a fait valoir que les circonstances postérieures à la séparation ou au divorce ne peuvent influencer l'octroi d'une pension compensatoire, non accordée auparavant.
Cette chambre a déclaré, entre autres, dans le jugement 106/2014, du 18 mars :
« Le déséquilibre qui donne naissance à la rente doit exister au moment de la séparation ou du divorce et les événements postérieurs ne peuvent donner lieu à une rente qui n'aurait pas été créditée au moment de la crise conjugale. Dès lors, les biens des deux époux aux dépens de ce qui résulte de la liquidation de la société conjugale et, le cas échéant, de la modification ou de la cessation des mesures éventuellement convenues au moment du divorce. Le reste suppose le maintien après la rupture d'un lien économique entre les époux autre que celui autorisé par la loi...".
De même, arrêt 516/2014, du 30 septembre.
Au vu de ce qui précède, il convient d'estimer les motifs du recours, dès lors qu'au moment de la séparation conjugale aucune pension compensatoire n'a été constituée, d'un commun accord entre les époux.
De même, il n'y a pas de rapprochement de fait jusqu'à des dates proches de l'ordonnance du 5 juin 2015 qui l'a reconnu légalement.
Dès lors, compte tenu du peu de temps qui s'est écoulé entre la réconciliation (5-6-2015) et la demande de divorce (25-7-2016), de la courte durée de la nouvelle cohabitation et de l'indépendance des enfants, il ne peut être admis qu’il y a eu un déséquilibre économique, de sorte que l'octroi d'une pension compensatoire doit être refusé car il ne satisfait pas aux exigences de l'art. 97 du CC ». Civil".
Copyright AVOCAT NATHALIE GONZALEZ ET MÉDIATEUR, Créateur de GOAL ZERO VICTIMES.
Sin comentarios
